Depuis 2015, le deuxième plus grand lac de Bolivie, le Poopó, est complètement asséché. La faute au réchauffement climatique, qui accélère l’évaporation déjà très forte à 4.000 mètres d’altitude, et à l’industrie minière, très gourmande en eau. Un bouleversement pour les Uru Morato qui tentent aujourd’hui (...)Lire l'article complet